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BIOGRAPHIE

Adag'nan c'est un somptueux mélange entre influences des traditions du monde, ou les voix ethniques sont mises à l’honneur, et arrangements contemporains aux accents jazz et trip hop, distillés avec saxophone, handpan et harpe électrique. 

 

Une murmuration qui amènerait Bjork et Boards of Canada dans le jardin de Ravi Shankar et de Marie Boine. 


Le nouveau répertoire du duo Adag’nan, dédié aux oiseaux. Comme en pleine migration, l’auditeur, l’auditrice est invité/e en voyage, 

le temps d’un concert, autour du monde. 
 

Telles les oiseaux dans leurs murmurations, les notes volent, dansent et chantent dans une direction commune. 

Les signatures rythmiques changent de cap, virevoltent, en formations voluptueuses. 

Dans un monde où les espèces sont en voie de disparition,  où les langues,  les voix éthniques, les traditions, se perdent,  Adag’nan  souhaite partager ses valeurs, ses sensibilités dans son écriture musicale, et surtout ouvrir la curiosité des auditeur-trices sur les couleurs vocales, mélodiques et rythmiques des 4 coins  du  monde.

 

Sensibiliser au vivant, c’est aussi valoriser les héritages culturels, richesse d’un patrimoine immatériel abîmé par la mondialisation,

c’est rappeler la diversité des espèces aujourd’hui menacées par l’impact de l’humain sur son environnement.

Adag’nan ©Angélique Préau

Maël: (Berry Weight, Tatcha, Beatween)
L’enfant de musiciens a passé son dernier mois de gestation en studio d’enregistrement et ses premières années dans des backstages de toute l’Europe. La musique fut son premier moyen de communication.
Multi instrumentiste ayant beaucoup exploré le monde du Trip Hop, du scratch (collaborations avec Wax Tailor, dont 1ere partie à l’Olympia de Paris), il compose pour Berry Weight, Myrdhin, Leames et remix pour The Broken Orchestra, MÛ, Ogma, Long Arm, ...

Maël se plonge dans le monde du Handpan depuis plusieurs années.
Du live en studio, de festival en musique de rue, il explore cet instrument avec les projets Inqiteka, Dodjoma, Beatween, Tatcha et Adag’nan.

Adag'nan reverse ©Angélique Préau

Roxane Au’ra: (Safar Salam, Alauna)
 Du chant intuitif intérieur aux chants inspirés par des vies antérieures, sa voix s’évade des profondeurs de son être pour s’ouvrir au monde.
Une âme voyageuse, elle commence en Bretagne par jouer du violon puis du saxophone. Elle part en Afrique se reconnecter aux danses et rythmes de la Terre et aux chants spirituels. Au Québec elle se rapproche du Jazz, du gospel et du blues. De l’Allemagne jusqu’en Turquie elle se familiarise àd’autres sonorités jusqu’au chant soufi qu’elle continuera d’explorer auprèsdu Cheyr Zein (Egypte).

Sa voie musicale est avant tout à l’interieur et reflèteune profonde introspection, qui se manifeste par la
« langue des étoiles », nourrie des cultures, des couleurs et des rencontres de la vie.
La «voix ya joueuse» continue d’explorer l’univers vasteet infini des sons et des mouvements.

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